Toyota Aygo X hybride : la micro-citadine électrifiée la plus futée du marché

Toyota électrifie le segment A avec une proposition aussi rare qu’efficace : la nouvelle Aygo X passe à l’hybride non rechargeable, et c’est un vrai tournant pour les micro-citadines.
Avec un moteur 1.5 atmosphérique couplé à une boîte e-CVT (déjà éprouvée sur la Yaris), cette Aygo X hybride développe 116 ch et revendique :
→ un 0 à 100 km/h en moins de 10 secondes,
→ une consommation mixte de 3,8 L/100 km,
→ des émissions de 86 g de CO₂/km en cycle WLTP,
→ un gabarit ultra-urbain (3,7 m de long), sans surpoids inutile.
La batterie est discrètement logée sous la banquette arrière, sans impact sur le volume intérieur ou le coffre. Autrement dit : zéro compromis.
Côté équipement, Toyota muscle son jeu :
- nouveau design plus expressif,
- version GR Sport au look dynamique,
- habitacle modernisé (écran 7″, Toyota Safety Sense de série),
- et des performances en nette progression, sans sacrifier l’agilité en ville.
Résultat : un équilibre inédit dans la catégorie, à contre-courant des micro-citadines électriques souvent limitées par leur autonomie ou leur tarif.
Toyota fait ici le choix d’une hybridation légère, bien maîtrisée, adaptée aux usages réels… et surtout crédible face aux contraintes ZFE.
La stratégie ?
Classique, mais solide : utiliser la techno maison là où elle est la plus efficiente, sans céder aux sirènes du 100 % électrique à tout prix.
Reste à suivre :
- les mesures de consommation réelle,
- le ressenti de conduite en milieu urbain vs. VE purs,
- et bien sûr, le tarif d’appel… qui pourrait faire (re)vivre un segment en voie de disparition.
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Léon Chelli arpente les mondes de l’automobile et des énergies renouvelables à travers la transition écologique. Il y déchiffre mutations industrielles et stratégies de marché avec la lucidité un peu sauvage d’un promeneur qui choisit ses propres sentiers.
Il explore les transitions avec une vision systémique, entre ironie assumée et clarté analytique.