FranceConnect bad buzz : quand Duplomb dope l’usage public. Il n’y a Rien qui va ! (à part FranceConnect. FranceConnect va bien)
Il faut bien le reconnaître : en l’espace de quelques heures, Laurent Duplomb aura fait plus pour faire connaître et utiliser FranceConnect que des années de communication institutionnelle.
Un bad buzz, une séquence bien relayée, quelques détournements graphiques… et soudain, tout le monde sait ce qu’est FranceConnect, à quoi ça sert, et pourquoi ça fait râler les conservateurs en costard.
C’est cruel pour les communicants publics, mais terriblement révélateur : la notoriété passe par les failles, pas par les flyers.
À l’heure où l’État pousse à la numérisation des démarches administratives, cette séquence mérite d’être regardée pour ce qu’elle est : une démonstration involontaire de viralité politique, où l’attaque idéologique finit par produire l’effet inverse.
Moralité ?
À défaut d’un storytelling inspiré, la bêtise bruyante fait très bien le job.
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Léon Chelli arpente les mondes de l’automobile et des énergies renouvelables à travers la transition écologique. Il y déchiffre mutations industrielles et stratégies de marché avec la lucidité un peu sauvage d’un promeneur qui choisit ses propres sentiers.
Il explore les transitions avec une vision systémique, entre ironie assumée et clarté analytique.