Franc-maçonnerie : pourquoi les loges sont dites de Saint-Jean ?

Commentaires amusés de Léon
Je croyais que c’était juste un nom un peu classe… mais non : les Franc‑Maçons sont obsédés par deux Jean (et non, pas tous les gens !) :
- Saint‑Jean‑Baptiste (le “Précurseur”) : zélé, rigoureux, un peu le coach sportif spirituel de l’Ancien Testament. On le fête au solstice d’été.
- Saint‑Jean‑Évangéliste (le “Disciple bien-aimé”) : plus contemplatif, c’est lui qu’on fête au solstice d’hiver.
Ensemble, ils incarnent la double quête maçonnique : énergie et connaissance, feu et lumière.
Leur figure, ou plutôt leur symbolisme, est condensée dans le triptyque posé à l’autel : équerre, compas, et Évangile de Jean (“Au commencement était le Verbe…”).
À la clef : une exploration rationnelle et spirituelle, à la fois libre et éclairée, sans dogmes imposés : un cocktail maison de Lumière + Logos/Verbe + GADLU (Grand Architecte de l’Univers) version 2.0.
Décodage amusé :
Deux solstices, deux élans :
Le Baptiste apporte la ferveur, le zèle du changement.
L’Évangéliste incarne la lumière intérieure, la parole posée.
Un Starter-Jean pour l’action, un turbo-évangéliste pour la pensée.
Les Loges de Saint-Jean, c’est le choix de ne pas choisir.
Et pourquoi tout ça ?
Parce que le symbolisme saisonnier, l’alignement des astres, et la force des récits tissés dans le temps, ça fait un excellent terreau pour les rituels… et pour les discussions de fin de banquet.
Conclusion “éclairée” :
Oui, c’est un peu tordu ?
Absolument.
Mais c’est surtout magnifiquement structuré : deux Jean, deux polarités, une vieille boussole initiatique qui continue d’orienter.
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Léon Chelli arpente les mondes de l’automobile et des énergies renouvelables à travers la transition écologique. Il y déchiffre mutations industrielles et stratégies de marché avec la lucidité un peu sauvage d’un promeneur qui choisit ses propres sentiers.
Il explore les transitions avec une vision systémique, entre ironie assumée et clarté analytique.