Être soi sans se rétrécir : quand la norme étouffe la singularité
Trop, pas assez , trop…
Quotidien pour beaucoup d’entre nous.
Trop….ni bon, ni mauvais
Trop?
Trop, par rapport à quoi, par rapport à qui.
Qui a érigé la norme, d’où vient-elle ?
Ah oui… des plus nombreux.
Est-ce une raison pour se rétrécir? Élaguer à droite, à gauche, mais dedans surtout, des instincts, des réflexes, des habitudes, de vie et d’être ?
Qui érige La Règle?
Injustice pour certains d’entre nous; souffrance pour beaucoup d’entre nous.
Non, ce n’est pas juste de se glisser dans un trou de souris pour être accepté, non ce n’est pas juste de s’adapter constamment pour être aimable, aimé? … considéré?
Ce n’est pas du vent qui soufflerait trop fort dans les branches, et qui viendrait déranger … c’est un quotidien prouvé scientifiquement… oui, une histoire de branchement, de câblage, un truc scientifique qui se vit dans la chair.
Chère chair.
Être trop, pas assez… et si être suffisant parce qu’authentique et sincère prévalait enfin..
Et si fonctionner autrement, n’était pas dysfonctionner… et si …
Avec des « et si »… vous me direz…
Alors remplaçons… « et c’est ainsi… » que l’humanité fut, est, et sera , pleine de complexité parce que pleine d’individualités…
Le monde irait mieux.
Amitiés, soleil et paix.
Acte 1 scène 1.
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Marine Pardi est communicante et psychothérapeute, avec une expérience en art-thérapie.
Littéraire de formation, journaliste (formée à Harvard), elle croise communication, créativité et analyse humaine.
