Épigénétique : Comment j’ai peut-être niqué les gènes de mes enfants
Comment l’alimentation du père impacte la santé de ses futurs enfants
(Un article de Sciences et Avenir)

Une alimentation trop grasse modifie le métabolisme du père, ce qui se reflète par des changements épigénétiques au niveau des spermatozoïdes qui influencent le métabolisme du futur embryon.
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Je croyais juste être gourmand…
En réalité, mon alimentation trop grasse avant la conception a pu altérer mes spermatozoïdes de façon épigénétique.
Résultat potentiel :
• +226 % de risque d’obésité infantile si je suis en surpoids,
• +644 % si je suis carrément obèse.
• Et des fragments d’ARN délétères transmis aux enfants via des mitochondries saturées de lipides.
Bonne nouvelle : c’est réversible. Adopter une alimentation équilibrée avant la conception suffit à repartir sur de bonnes bases (les spermatozoïdes se renouvellent tous les 70 jours).
Moralité virile mais correcte :
Ce n’est pas “maigrir pour moi”, C’est “manger mieux pour eux”…
… au moins jusqu’à l’accouplement.
Bon, mes enfants sont tout minces, à l’époque je devais être moins gros… et par chance, ils ont une mère !
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Léon Chelli arpente les mondes de l’automobile et des énergies renouvelables à travers la transition écologique. Il y déchiffre mutations industrielles et stratégies de marché avec la lucidité un peu sauvage d’un promeneur qui choisit ses propres sentiers.
Il explore les transitions avec une vision systémique, entre ironie assumée et clarté analytique.